Résumé :
Etre le fils de Poséidon, un honneur ou une cruelle plaisanterie ? Lorsqu'une simple partie de foot se change en bataille contre un gang de cannibales géants, Percy le demi-dieu a un terrible pressentiment... Comme le lui annonçaient ses étranges cauchemars, les frontières magiques qui protègent la Colonie des Sang-Mêlé sont empoisonnées. Pour sauver leur domaine, Percy et ses amis devront parcourir la mer des Monstres, qui porte bien son nom.
Ce que j'en pense :
Oui, ben, je l'avais dit, il y avait de tome 2 sorties en audio alors forcément, je n'ai pas entendu très longtemps pour lire enfin pour écouter ce tome 2. En même temps, cette année, j'ai décidée que quand je commençais une saga, j'essayais de la continuer assez rapidement alors certaines se continuent plus facilement que d'autres.
C'est donc avec un énorme plaisir que je me suis mis à écouter ce deuxième tome, retrouvez Grover en robe de mariée, ça aide forcément. J'adore Percy et Annabeth qui sont dans les emmerdes pas possible comme d'hab plus d'autres petites situation bien marrante, c'était pas mal. Ah oui, il ne faut pas oublier Tyson, un personnage que j'adore et qui va prendre son importance au fil du tome.
Une nouvelle quête encore plus dangereuse que la première oui, c'est normal mais bon cette fois-ci, il faut sauver la colonie donc le danger, on s'en fout un peu, mais qui dit danger dit beaucoup d'actions. Alors pas le temps de s'ennuyer, on en apprend un peu plus sur l'intrigue principale et j'adore comment l'auteur mélange la mythologie grecque avec notre ère.
Comme avec le premier tome, je n'ai pas beaucoup de choses à vous dire de plus autant, j'adore ses livres, mais ils sont tellement connus que je ne sais pas quoi raconter dessus. Juste encore une fois l'écoute a été géniale, le narrateur a vraiment la voix qu'il faut pour lire cette histoire. J'aurais bien envie de lire la suite assez rapidement les autres tomes ne sont pas encore en audio alors soit j'attends les audio, soit je lirais sur les bouquins que j'ai à la maison, on verra.
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